La Faculté de droit est heureuse d’annoncer la nomination de la professeure Mélanie Samson à titre de directrice des Cahiers de droit pour un mandat de deux ans, soit du 1er juillet 2024 au 30 juin 2026. La professeure Samson reprend ce poste après avoir mis son expertise au service de la Faculté de droit à titre de vice-doyenne à la recherche et aux affaires externes dans le cadre d’un mandat réalisé avec brio. Elle succède à la professeure Sylvette Guillemard qui dirigeait les Cahiers depuis deux ans et leur a insufflé un vent de nouveauté avec la création d’une nouvelle identité visuelle, la refonte du site web ainsi que des entrevues (sous forme de capsules vidéo) réalisées avec des autrices ou auteurs de la revue.
La professeure Samson étant actuellement en congé parental, le vice-doyen à la recherche et aux affaires externes, Charles-Emmanuel Côté, agira comme directeur par intérim. Il sera accompagné dans ses fonctions par monsieur Baptiste Jouzier à titre de directeur adjoint et rédacteur en chef de la revue. Titulaire d’un doctorat en droit de l’Université Laval et de l’Université Grenoble Alpes, Baptiste Jouzier est une figure bien connue à la Faculté de droit. Récipiendaire de plusieurs prix et bourses, chercheur accompli et auteur de nombreuses publications, il a coordonné des projets scientifiques et pédagogiques d’envergure, en plus d’agir comme mentor au Centre de soutien des étudiantes et étudiants de notre Faculté. Nous sommes ravis de l’accueillir parmi nous à compter du 22 juillet.
La revue Les Cahiers de droit s’inscrit dans une longue tradition de rigueurs scientifique et éditoriale. Depuis sa fondation en 1954, elle a pour mission d'assurer la diffusion des travaux de recherche qui contribuent soit à une meilleure connaissance fondamentale du droit, soit à une évolution de celui-ci en fonction des besoins de la société. Axée sur la francophonie mondiale, elle constitue une forme d’observatoire du droit civil en couvrant un large pan des recherches de sciences juridiques (droit comparé, théorie, droit positif, inter et transdisciplinaire), tout en mettant l’accent sur la nature fondamentale et pluriculturelle du bijuridisme canadien (common law et droit civil). Son lectorat s’étend à l’ensemble du Canada, aux États-Unis et à l’Europe, particulièrement à la France.